16 janvier 2013
Sonnet au Popotin
Ce cul qui d'un quart d'heure en tous lieux la succède
Est réservoir d'étrons sûrement conséquents :
Un gros nid de caca, dont le nom seulement
La rend jouasse à jamais et pour jamais l'obsède.
Ce postérieur ma foi a tout de surhumain.
Il est l'aimant des yeux les plus purs, les plus chastes
Et devant lui chacun se dit à part soi : "Baste !
La callypige Anoo cache le Palatin !"
Malgrè sa fine taille, cette très chère hindoue
Ne peut, et c'est son drame, arriver jusqu'à nous :
Son gros boule encombrant ne passe pas les portes.
Enfin c'est notre joie, malgrè tout, que ces fesses
Eh oui ! car qui les voit est rempli d'allégresse :
Que n'en puisse exister, mon Dieu, une cohorte !
Lucie Grunstein, juillet 2011
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